LA CHIRURGIE DE
LA HANCHE

Prothèse de hanche

La prothèse totale de hanche est l’une des interventions de chirurgie orthopédique les plus pratiquées dans le monde. Elle donne d’excellents résultats dans la très grande majorité des cas. Délicate, cette chirurgie nécessite toutefois une prise en charge adaptée par une équipe de chirurgiens orthopédistes spécialisés. 

prothèse de hanche

prothèses sont mises en place chaque année en France

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Attention, certaines vidéos présentes sur ce lien peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes ainsi que des personnes non averties.

prothèse hanche céramique

Pourquoi poser une prothèse de hanche ?

L’articulation de votre hanche est abîmée, occasionne des douleurs quotidiennes ou une raideur invalidante ? Cela implique bien souvent la pose d’une prothèse de hanche.

Les causes sont multiples :

  • Une arthrose de l’articulation de la hanche, un phénomène banal de vieillissement dans la grande majorité des cas
  • Une nécrose de la tête fémorale (ostéonécrose)
  • Certaines maladies inflammatoires (la Polyarthrite Rhumatoïde)
  • Des séquelles de maladies de l’enfance ou de l’adolescence (une épiphysiolyse fémorale, une ostéochondrite primitive de hanche, une arthrite…)
  • Une séquelle de dysplasie de hanche ou de luxation congénitale de hanche
  • Une fracture du col du fémur

Pour en savoir plus sur l’arthrose de la hanche et la pose de prothèse de la hanche, cliquez sur les liens suivants :
Vidéo 1 : Arthrose de hanche, quel traitement ?
Vidéo 2 : Arthrose et prothèse de hanche

Qu’est-ce qu’une prothèse de hanche ?

C’est un implant qui remplace l’articulation de la hanche et assure les mêmes fonctions de mobilité (de l’articulation) et de support (lien entre le bassin et le membre inférieur).

Elle se compose de 2 parties :

  • Une tige fémorale qui est insérée dans le fémur après avoir retiré la tête fémorale usée. Elle sera soit cimentée (rarement), soit impactée (tige sans ciment) dans le fémur et on y fixe une tête prothétique (en céramique). Cette dernière est prévue pour s’insérer dans la cupule et permettre la rotation à 360°.
  • Une cupule en forme de demi-sphère. Celle-ci reçoit la tête prothétique fixée au bout de la tige fémorale. Cette cupule est cimentée (rarement) ou impactée dans le cotyle, nom anatomique de la cavité articulaire du bassin.

Pour assurer une fonction optimale et durable à la prothèse de hanche, le positionnement de ces deux pièces doit être correct.

Comment se pose une prothèse de hanche ?

À l’ICHG, une équipe entrainée et spécialisée réalise la mise en place d’une prothèse de hanche.

Elle se déroule le plus souvent sous anesthésie générale ou loco-régionale et dure en moyenne 60 minutes. Elle peut durer davantage si les conditions anatomiques sont moins favorables.

Pour découvrir l’opération de la hanche cliquez ici. Attention, les images présentes sur ce lien peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes ainsi que des personnes non averties.

Le patient peut se lever dès le jour de l’intervention (quelques heures après) avec un appui complet. Le protocole de  récupération rapide (FAST TRACK) est maintenant la règle après une prothèse de hanche réalisée par voie antérieure (Voie de Hueter).

Le premier lever se fait avec un kinésithérapeute. Si un drain a été mis en place, il sera retiré le lendemain de l’intervention.

La Voie d’abord dans le cadre d'une prothèse de hanche

La mise en place d’une prothèse de hanche nécessite dans un premier temps d’accéder à l’articulation. On parle de la « voie d’abord » de la hanche.

Plusieurs voies d’abord existent pour mettre en place une prothèse de hanche : antérieures, antéro-externes, postérieures ou transtrochantériennes.

Pour nos patients opérés pour la mise en place d’une prothèse (totale) de hanche, nous choisissons la voie antérieure directe, dite voie de HUETER. En effet, celle-ci présente certains avantages que n’ont pas les voies antéro-externes, postérieures ou trans-trochantériennes.

Nous utilisons la voie de HUETER qui offre deux avantages majeurs, car elle est :

  • Anatomique. Nous ne coupons et ne désinsérons aucun muscle à la différence d’une voie postérieure ou de la voie antérieure de Hardinge. Aucune structure osseuse n’est désinsérée, à la différence de la voie trans-trochantérienne.

Nous passons entre deux groupes musculaires en les écartant l’un de l’autre. Nous exposons ainsi la capsule articulaire de la hanche qui sera ouverte à sa face antérieure. Il n’y a aucune section tendineuse, musculaire ou osseuse lors de cet abord.

  • Antérieure. Nous abordons l’articulation de la hanche par sa face antérieure (en avant). Ceci limite ainsi les risques de luxation de la prothèse de hanche dans les suites opératoires (la majorité des luxations se produisent vers l’arrière). Nous sectionnons uniquement la capsule articulaire antérieure puis la refermons par une suture en fin d’intervention.

Cette technique limite donc le risque de luxations (sans l’exclure totalement), elle permet une récupération  rapide après l’intervention et préserve les structures anatomiques tendineuses et musculaires.

Quelle convalescence pour la prothèse de hanche ?

2 à 3 jours après l’intervention, vous pouvez quitter la clinique et regagner votre domicile en voiture personnelle, taxi conventionné ou en VSL Véhicule Sanitaire Léger. Nous vous prescrirons des antalgiques pris par voie orale ainsi qu’un traitement anti-coagulant.

Un(e) infirmier(e) viendra à votre domicile tous les deux à trois jours pour vérifier que la cicatrisation se déroule normalement. Il ou elle refera alors votre pansement.

La convalescence après une prothèse de hanche est de 1 à 3 mois (période minimum de repos sans activité professionnelle ou sportive). Cette fourchette est large. En effet, elle tient compte des grandes variations entre des patients très actifs de moins de 50 ans et des patients plus âgés.

Par la suite vous pourrez :
  • reprendre la marche progressivement dès le retour à domicile. Il est souvent confortable de garder une canne pendant 2 à 4 semaines
  • faire doucement du vélo d’appartement dès la fin de la troisième semaine postopératoire
  • reprendre la conduite entre le quinzième et trentième jour après l’opération, 4 à 6 semaines après l’intervention
  • pratiquer des activités sportives (natation, course…) selon les indications de votre médecin
Votre chirurgien évaluera naturellement au cas par cas la possibilité du retour ou de la pratique de ces activités en fonction du contexte clinique.
Vous reverrez votre chirurgien, muni d’une radiographie de contrôle, dans les 3 mois suivant l’intervention.

Pour éviter les luxations avec votre prothèse de hanche

Ces consignes sont les mêmes pour toute prothèse de hanche. Nos chirurgiens vous recommandent :

  • De ne pas vous asseoir dans un siège dans lequel les fesses sont situées plus bas que les genoux
  • Ne pas croiser les jambes, surtout en entrant ou sortant d’un véhicule
  • De garder un cousin entre les jambes la nuit pendant les deux premières semaines
  • D’adopter des positions raisonnables en évitant les rotations de hanche lors des rapports sexuels

Reprise de prothèse
de hanche

L’usure d’une prothèse de hanche

La prothèse de hanche, comme toute articulation mécanique, est soumise à des contraintes d’usure. En effet, frottements, pressions ou cisaillements s’exercent au niveau de l’articulation entre la tête de la prothèse et la cupule.

Cette usure est très lente et la longévité d’une prothèse de hanche est de plusieurs dizaines d’années. De plus, certains couples de frottement sont plus résistants que d’autres, en particulier le couple céramique-céramique.

Les frottements entre les surfaces de la prothèse en contact libèrent des débris d’usure qui provoquent une réaction inflammatoire locale. Cette inflammation de l’organisme dégrade durablement l’os autour de la prothèse et provoque ainsi le descellement, dit par usure, de celle-ci.

Ce descellement rend l’implant mobile (la prothèse, sans attaches, n’est plus fixée à l’os). Ceci provoque des douleurs, parfois des sensations d’instabilité (ou de vraies luxations) ou d’inconfort. Le patient ressent alors une douleur dans la cuisse, dans la fesse, dans l’aine, parfois vers le genou. Ce cas implique alors un remplacement de prothèse.

D’autres situations existent comme :

  • Les infections chroniques
  • Les cas de luxations récidivantes

En effet, en cas d’infection, celle-ci peut s’étendre et abîmer les tissus de voisinage. Dans certaines situations, cela peut mettre en jeu le pronostic du patient.

Le changement de prothèse de hanche

Le remplacement d’une prothèse de la hanche (ou « reprise » de prothèse) représente une intervention qui peut être longue et complexe. Elle nécessite donc une planification et une préparation sur le plan chirurgical et anesthésique.

Les principales étapes à prendre en compte sont :

  • La voie d’abord de la hanche. Il est possible de remplacer une prothèse de hanche par une voie antérieure. Cependant, si la hanche nécessite un travail de reconstruction important, d’autres alternatives existent. Ainsi, dans certains cas, on emprunte une voie postérieure ou transtrochantérienne. Il est également possible de recourir à une exposition plus extensive comme la fémorotomie (une ouverture du fémur sur plusieurs centimètres)
  • L’extraction de la prothèse en place, parfois difficile, fait obligatoirement l’objet d’une planification
  • La reconstruction de la hanche : existe-t-il une perte de substance osseuse sur le fémur ou sur le bassin nécessitant une reconstruction avec une greffe osseuse ? Un scanner permet une analyse précise des lésions
  • La mise en place de la nouvelle prothèse : le choix de la prothèse et de son mode fixation fait l’objet d’une analyse au cas par cas. On choisit alors la meilleure option : sans ciment, cimentée, cotyle à double mobilité… ?

Afin de trouver la meilleure solution, un staff de spécialistes discute en amont des choix et des étapes. Ils déterminent ainsi une stratégie chirurgicale de reprise entièrement personnalisée en fonction de chaque situation.

Dans les suites de l’intervention, il est habituel de respecter une période de plusieurs semaines sans appui ou avec un appui très partiel. Durant celle-ci, le patient gardera donc des cannes. Ceci permet une meilleure consolidation ou l’incorporation de la greffe et/ou de l’os.

En cas de reprise des suites d’une infection, on administre également un traitement antibiotique pendant plusieurs semaines.

Prothèse de hanche
et luxation congénitale

Prothèse de hanche et luxation congénitale

Qu’est-ce qu’une luxation congénitale de la hanche ?

Maladie congénitale (constituée pendant la vie fœtale), cette luxation est une anomalie de formation de l’articulation de la hanche. Avec celle-ci, la tête du fémur n’est plus située dans son logement dans le bassin. Elle est dite luxée ou littéralement déboîtée.

Antérieure, intermédiaire ou postérieure selon la position anatomique de la tête fémorale, elle peut revêtir des formes plus ou moins sévères. Une des conséquences, en plus des atteintes musculaires, ligamentaires et capsulaires, consiste en l’usure prématurée de l’articulation.

Pourquoi opérer une luxation congénitale de la hanche ?

Cette usure prématurée entraîne souvent des douleurs de dos. Et cela est d’autant plus vrai lorsqu’elle ne touche qu’un côté. En effet, dans cette situation la différence de longueur entre les membres joue sur l’équilibre du corps.

Ainsi, la souplesse et/ou l’enraidissement lombaire doivent être analysés avant d’envisager une intervention.

Dès lors que les douleurs sont trop importantes pour être soulagées par des méthodes non chirurgicales, une prothèse de la hanche est envisageable.

Quelle opération de prothèse de hanche ?

La mise en place d’une prothèse de hanche dans les dysplasies et les luxations congénitales nécessite un savoir-faire très spécifique. En effet, celle-ci peut nécessiter un geste de reconstruction destiné à réparer les insuffisances anatomiques. On peut recourir à des greffes osseuses sur le bassin.

De même, une technique spécifique pour aborder la hanche, décrite par le docteur Marcel KERBOULL, est employée. Très particulière, celle-ci est pratiquée et enseignée uniquement dans certains centres orthopédiques très spécialisés en France.

Cette chirurgie permet notamment de :

  • Rétablir une mobilité normale à l’articulation de la hanche
  • Corriger une différence de longueur de jambe
  • Faire disparaître les douleurs
  • Redonner de l’autonomie dans la vie quotidienne et dans la marche

Arthroscopie
de la hanche

L’arthroscopie
de la hanche

L'arthroscopie pour conflit antérieur de la hanche

La  définition du conflit antérieur de la hanche

Le « conflit antérieur de la hanche » ou « conflit fémoro-acétabulaire » sont les deux termes utilisés pour désigner une même pathologie.

Il s’agit comme son nom l’indique d’un conflit c’est-à-dire un contact anormal entre deux parties de l’articulation de la hanche.

L’articulation de la hanche est constituée de la tête fémorale qui s’articule avec le bassin dans une cavité appelée « cotyle » ou « acétabulum ». Le bourrelet (ou labrum) et la capsule articulaire stabilisent et assurent le lien entre ces deux éléments de l’articulation.

Le conflit : il s’agit d’un contact anormal et douloureux entre le col du fémur et le rebord (la berge) du cotyle. Ce conflit est donc lié à une anomalie morphologique de la hanche. La douleur se fait en particulier ressentir dans certains mouvements et certaines activités de la vie courante, notamment sportives.

Il a bien été décrit par Ganz en 2003 (Femoroacetabular impingement : a cause for osteoarthritis of the hip. Clin Orthop Relat Res. 2003).

On distingue deux formes de conflit fémoro-acétabulaire :

  • le conflit dit « par effet tenaille » ou « effet pince »
  • le conflit « par effet came ».

Dans l’effet tenaille c’est le bassin (le cotyle) qui est trop développé en avant, trop couvrant ou trop profond.

Dans « l’effet came » c’est le col du fémur qui est bombé, déformé. La déformation en bosse siège souvent à la jonction entre la tête et le col du fémur.

Il existe aussi des formes mixtes associant une anomalie du cotyle et une déformation du col. 

Les douleurs et gênes ressenties

Les patients se plaignent alors de douleurs inguinales (dans l’aine) lors des activités sportives ou en position assise et d’une limitation des amplitudes, sensation de raideur. Ce sont souvent des adultes jeunes.

Certaines activités comme la danse, les sports de combat, l’athlétisme, le football… peuvent être les facteurs déclenchants de ces douleurs et favoriser l’expression d’un conflit existant.

A force de contact entre le bord du cotyle et le col du fémur le bourrelet périphérique finira par se fissurer et se déchirer. Le patient peut alors ressentir un ressaut, un claquement dans l’articulation, liés à la déchirure du bourrelet. Le patient identifie parfois très bien le mouvement déclenchant le ressaut et les douleurs.

Pour certains le conflit de hanche est une lésion pré-arthrosique. Avec le temps le conflit finit par abîmer le bourrelet puis le cartilage articulaire et à perturber le fonctionnement biomécanique harmonieux de la hanche… une arthrose de hanche se développe progressivement. 

Le diagnostic et l’intervention

Les signes évoquant à l’examen ce diagnostic sont : une douleur péri-articulaire, souvent dans l’aine, déclenchée à l’examen de la hanche, lors des mouvements en rotation interne et en flexion.

Ces sont les examens complémentaires qui permettent de faire le diagnostic : des radiographies de la hanche sous plusieurs angles, un scanner et une IRM. Ils apportent tous une part d’information utile pour caractériser le conflit de hanche.

Le scanner et l’IRM sont parfois couplés avec une infiltration de produit de contraste pour mieux visualiser les lésions.

Le traitement du conflit de hanche fait appel à la rééducation, à la modification des activités à risque et douloureuses, aux infiltrations ou enfin à une intervention chirurgicale sous arthroscopie ou à ciel ouvert.

Le but de l’intervention sera de supprimer le conflit de hanche (modeler l’os du cotyle et du col fémoral) et de réparer les lésions du bourrelet (réparation ou résection selon les conditions locales).

L’intervention se déroule le plus souvent sous arthroscopie. La reprise d’appui est progressive sous couvert de deux cannes.

Dans les suites de l’intervention un rééducation est indiquée.  La reprise des activités sportives est différée de deux à trois mois. 

Comment diagnostiquer un conflit antérieur de hanche

Ce sont souvent des adultes jeunes qui souffrent d’un conflit de hanche. Les activités sportives peuvent être des facteurs déclenchant les douleurs (danse, athlétisme, arts martiaux…). Il peut également s’agir d’une limitation des amplitudes avec une sensation de raideur. Le patient peut aussi ressentir un ressaut, un claquement dans l’articulation, lié à la déchirure du bourrelet. Le patient identifie parfois très bien le mouvement déclenchant le ressaut et les douleurs.

Pour les patients plus âgés un conflit peut se manifester par une arthrose de hanche, le conflit ayant été négligé.

Dans tous les cas les patients ressentent une douleur périarticulaire, souvent localisée dans l’aine, notamment lors d’une rotation interne et en flexion.

Suite à un examen de la hanche, les spécialistes réalisent différents examens complémentaires :

  • Des radiographies de la hanche sous plusieurs angles
  • Un scanner
  • Une IRM

Tous apportent une part d’information utile pour caractériser le conflit de hanche. Pour un scanner ou une IRM, on procède parfois à une infiltration de produit de contraste pour mieux visualiser les lésions.

Le déroulement d’une arthroscopie de la hanche

À l’ICHG, l’arthroscopie de la hanche est une intervention réalisée par une équipe spécialisée.

Dans la plupart des cas, elle se déroule sous anesthésie générale. Elle dure en moyenne 60 minutes ou davantage si les conditions anatomiques sont moins favorables.

Quelle convalescence avec une arthroscopie de la hanche ?

Dans la très grande majorité des cas, une arthroscopie de la hanche est effectuée lors d’une hospitalisation d’une journée en chirurgie « ambulatoire ».

L’opération se déroule le matin et vous quittez la clinique dans l’après-midi après une visite de contrôle. Pour des raisons médicales de sécurité, l’équipe soignante peut, à tout moment, annuler l’hospitalisation en ambulatoire. Dans ce cas, vous resterez une nuit à la Clinique au sein de notre service de chirurgie orthopédique.

La cuisse peut rester gonflée plusieurs jours dans les suites de l’intervention. Il conviendra de bien glacer la cuisse avec des poches de glace. Vous marcherez dans les premiers jours avec deux cannes puis rapidement avec une seule canne.

Une infirmière viendra tous les deux à trois jours pour refaire votre pansement. Elle vous aidera également en cas de prescription d’un traitement anticoagulant.

Après une arthroscopie pour conflit antérieur, après une période de repos, vous aurez à faire quelques séances de rééducation avec votre kinésithérapeute. Nous vous conseillons donc de contacter celui-ci en amont pour « réserver » vos séances de rééducation.

Un programme spécifique de réathlétisation plus complet peut être nécessaire à distance en fonction de vos objectifs sportifs. Il conviendra dans ce cas de nous en parler lors des consultations.